Goûtez Le Coeur D'un Cobra Qui Bat Encore...

Le coeur de cobra
C’est vrai qu’on y avait pas encore pensé pour nos soirées entre amis ou en famille… Mais de l’autre côté du globe, il n’est pas rare d’avoir dans son assiette le coeur encore battant d’un cobra.
Non, vous ne rêvez pas ! Pour assurer le show, le chef va même découper la jugulaire du cobra sous vos yeux avant d’en extraire le coeur, qui continue de battre quelques minutes.


Comment apprécier un coeur de cobra ?
Il y en a pour tous les goûts quand il s’agit de déguster un coeur encore palpitant… Au cours d’un circuit au Vietnam vous avez le choix entre le manger cru, présenté dans une coupelle et baignant dans le sang...


... ou le plonger dans un shooter de vodka et l’avaler cul-sec !


Où trouver ce délice sanglant ?
Il vous sera impossible de vous procurer de la chair de serpent en France car sa vente est illégale.
Il faudra traverser la planète avec un vol Paris - Ho Chi Minh au Vietnam pour pouvoir vous vanter d’avoir osé manger un coeur de serpent !

Cependant méfiez-vous… Si vous souhaitez en profiter lors d’un circuit en Chine, il faudra vous rendre dans un restaurant où un chef professionnel s’occupera de tuer le cobra. En effet, des accidents ont déjà eu lieu en Chine, où un cuisinier avait été tué par la morsure d’un cobra, même décapité depuis 20 minutes. Les reptiles peuvent avoir des mouvements réflexes de certaines parties de leur corps bien après avoir été tué. Des précautions sont de rigueur…

Supporter le goût du coeur...
Le serpent représente la puissance et la force dans la culture asiatique, à qui l’on reconnaît depuis de nombreuses années les bienfaits anti-rides de son venin. Mais pour bénéficier des propriétés aphrodisiaques du coeur de cobra, il faudra en supporter le goût et la texture.
Le blogueur Super Vagabond y a goûté et affirme que “C’est horrible. Je l’ai un peu mâché, et rapidement avalé avec un shot de vodka. Cela a la texture de la viande crue, mais ça n’a pas très bon goût.”

Si vous n’êtes pas cardiaque, lancez-vous !